Bon nombre de particuliers et d’entreprises se sont lancés dans le monde équestre pour se faire du profit. Quelles sont les clés de succès de l’investissement dans les chevaux ?
Sommaire
Se lancer dans l’équitation de loisir
Investir dans les chevaux peut rapporter gros, car l’équitation est actuellement l’un des activités sportives les plus chères en Europe et même dans plusieurs pays occidentaux. En effet, les statistiques montrent qu’elle se positionne à la troisième place des loisirs sportifs les plus prisés au niveau national et arrive en tête en ne considérant que les femmes. Pas moins de 2,3 millions de Français pratiquent cette activité, ce qui place ce secteur au premier rang des secteurs sportifs pourvoyeurs d’emplois. Bon nombre de centres équestres exploitent l’équitation en loisir, mais la demande excède encore l’offre. Les clients sont, dans la plupart des cas, des habitués recensés dans la liste des adhérents d’un club ou des clients occasionnels souhaitant goûter aux sensations d’un divertissement enrichissant.
Participer à des courses de chevaux
Les concours équestres sont l’une des plus juteuses sources de revenus des propriétaires de chevaux. Il peut s’agir d’une compétition professionnelle, mais également un défi entre simples amateurs. Investir dans les chevaux est donc devenu plus accessible grâce aux recettes générées par les courses. Par ailleurs, il importe de remarquer que les concours à titre professionnel requièrent une licence délivrée par les pouvoirs publics concernés. Sur le plan international, les compétitions sont régies par la Fédération équestre internationale (FEI) et se divisent en trois disciplines : le saut à obstacles, le dressage et la course d’endurance. Dans ce cadre, une trentaine de médailles olympiques, plus de 300 médailles européennes et pas moins de 100 médailles mondiales ont été remportées par la France. D’ailleurs, les courses hippiques sont bien encadrées dans l’Hexagone, et l’appât du gain lors des paris suscite aussi bien l’engouement des propriétaires que des joueurs. La Fédération nationale des Courses françaises (FNCF) organise chaque année environ 18 000 courses, ce qui place le Pari mutuel urbain ou PMU au rang des activités économiques les plus prospères en Europe. C’est en quelque sorte un pari d’enjeu international et dont la création d’emplois contribue activement à la lutte contre le chômage massif dans les pays en développement. De ce fait, avoir ses propres chevaux nécessite un investissement en matière de soins, mais les résultats financiers sont très satisfaisants.
Bien calculer les coûts liés à l’assurance
Pour bien investir dans les chevaux, il convient d’observer à la loupe les frais d’assurance, car une erreur de calcul pourrait alourdir les charges et conduire à une perte immédiate. Aussi, il serait préférable d’opter pour des enseignes d’assurances spécialisées afin de prétendre à des services de qualité. Actuellement, il existe environ 9 types d’assurances liées aux chevaux, à savoir l’assurance cheval (elle dédommage le propriétaire en cas de mortalité, elle peut servir à payer les frais vétérinaire, etc.), l’assurance cavalier (garantie d’invalidité ou de décès), l’assurance remorquage, l’assurance protection juridique, l’assurance rapatriement, l’assurance attelage, l‘assurance incinération, l’assurance écuries, l’assurance selle, etc.